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2 FORUM Semaine du 3 novembre 2014 » nouvelles.umontreal.ca/forum Hebdomadaire d’inormation de l’Université de Montréal depuis 1966 Publié par le Bureau des communications et des relations publiques 3744, rue Jean-Brillant, bureau 490, Montréal » bcrp.umontreal.ca Directrice des publications : Paule des Rivières Rédacteurs : Martin LaSalle, Dominique Nancy, Mathieu-Robert Sauvé Rédacteur-vidéaste : Bruno Girard Photographe : Amélie Philibert Reviseuse-correctrice : Sophie Cazanave Graphiste : Benoît Gougeon Impression : Transcontinental Les articles, photos et illustrations de Forum peuvent être reproduits avec mention obligatoire de la source (Journal Forum – Université de Montréal) et des auteurs. Dépôt légal : Bibliothèque et Archives nationales du Québec, Bibliothèque et Archives Canada ISSN 1191-1026 Courriel : orum@umontreal.ca Téléphone : 514 343-6550 Télécopieur : 514 343-5976 Courrier : C.P. 6128, succursale Centre-ville Montréal (Québec) H3C 3J7 Publicité Représentant publicitaire : Accès-Médias Téléphone : 514 524-1182 Annonceur de l’UdeM : Léonora Pillot, poste 8875 pour nous joindre PEFC / 01-31-106 Ce produit imprimé est issu de forêts gérées durablement, de sources recyclées et contrôlées Certifié et recyclé PEFC www.pefc.org prestigieux mensuel est distribué dans tous les coins du monde et ses diérentes éditions comptent 40 millions de lecteurs. Le cher cheur montréalais a eu la surprise de voir la une du magazine à des dizaines d’exemplaires dans un kiosque à journaux de Los Ange les la semaine dernière. «Ça m’a scié les jambes», ditil. Une telle photo, où l’on voit en contreplongée la guêpe sous sa orme larvaire dans son cocon surmontée de la coccinelle parasi tée ( Coccinella maculeata ), ça se prépare. L’angle, l’éclairage, la po sition des fgurants, rien n’a été laissé au hasard. Le photographe Anand Varma s’est présenté à l’IRBV «avec des kilos et des kilos de matériel photographique. Il a travaillé durant quatre journées entières, mitraillant sans relâche la coccinelle et son parasite», ra conte Jacques Brodeur. Avec son étudiante Fanny Mau re, il a été le premier à documenter un comportement de garde du corps chez les insectes (voir Forum du 16 novembre 2009, «Une cocci nelle au service d’une guêpe»). En tissant sa toile dans les pattes de son hôte, la guêpe se pare d’une protec tion vivante pour assurer sa survie. La guêpe n’a pas fni de nous sur prendre, puisqu’elle est au cœur de nouvelles recherches. Mathieu-Robert Sauvé Plus les sujets ont perdu la vue à un jeune âge, plus grande est la capacité d’adaptation de leur cerveau. Ce phénomène s’appuie sur un processus biologique : la plasticité cérébrale, cette aptitude de notre cerveau à créer de nouveaux neu rones et de nouvelles connexions lors d’un apprentissage. Des tra vaux du proesseur Ptito dont Fo- rum a ait écho ont d’ailleurs levé un peu plus le voile sur le ait que le cortex visuel des gens aveugles ne se détériore pas malgré sa non utilisation. Dans «Voir avec la lan gue» (lire Forum du 17 évrier 2003), le spécialiste de la plasticité céré brale expliquait comment un groupe d’aveugles de naissance étaient parvenus à tirer proft de leur cor tex visuel grâce à une plaque de sti mulation tactile déposée directe ment sur la langue. Selon Maurice Ptito, la recherche de M. Slimani revêt un grand inté rêt scientifque. Elle confrme entre autres que «l’âge à la lésion» est vrai ment important pour la plasticité cé rébrale. Celleci diminue au fl du temps, même si elle ne disparaît pas totalement. «Dans le cas présent, la plasticité est dépendante de l’âge au quel les sujets ont perdu la vue, note le proesseur. Aucun des sujets deve nus aveugles après l’âge de six ans n’a démontré d’hypersensibilité à la douleur.» Il y aurait ce que les neurolo gues nomment une «enêtre cri tique». Il s’agit de la période d’ap prentissage pendant laquelle le cortex visuel acquiert ses aptitudes de décryptage du monde extérieur. Elle s’étendrait jusqu’à la cin quième année de vie, selon les ex perts. Une ois cette «enêtre cri tique» dépassée, la récupération devient d’autant plus difcile que le temps passe. Autrement dit, plus les sujets ont perdu la vue à un jeune âge, plus grande est la capa cité d’adaptation de leur cerveau. Outre les chercheurs de la chaire Harland Sanders, deux autres labo ratoires de recherche, du Dane mark et d’Italie, ont pris part à cette étude multicentrique. Les travaux de Hocine Slimani ont été codirigés par le proesseur Ron Kupers, de l’Université de Copenhague. Dominique Nancy SUITE DE LA PAGE 1 SUITE DE LA PAGE 1 National Geographic lance la carrière mondiale d’un insecte de l’UdeM Les aveugles sont plus sensibles à la douleur Les Italiens sontils plus douillets que les Danois? C’est ce que croit le proesseur Maurice Ptito, qui a dirigé une étude auprès d’aveugles et de voyants originaires d’Italie et du Danemark. «La perception de la douleur dière selon les personnes et les cultures, afrme le chercheur d’origine marocaine. Mais les Latins en général semblent plus sensibles à la douleur.» Son étude a révélé de aibles variations du seuil de per ception de la douleur entre les aveugles mais des niveaux de sensibilité à la douleur entre individus de diérentes cultures. Les sujets d’origine danoise seraient plus stoïques que les Italiens à l’égard de la douleur. «Lorsqu’on de mande aux gens de quantifer leur douleur, les Italiens ont tendance à la chirer plus haut que les Danois», indique Maurice Ptito. On n’a pas tous les mêmes rapports avec la douleur, ajoute le chercheur. «Subjective par défnition, la perception de ce qui est dou loureux varie d’une personne à l’autre. Elle est modulée par des acteurs biologiques, psychologiques, amiliaux, sociaux et culturels.» Ne craignant pas de reproduire des stéréotypes, Maurice Ptito se dit à peu près cer tain que l’intensité ressentie dépend beaucoup de nos expériences passées et de la a çon dont nous avons été élevés. «Ceux qui comme moi, qui aie baigné dans la culture méditerranéenne, ont grandi dans la ouate, voire ont été surprotégés ace au danger, ont tendance à être plus douillets.» La sensibilité à la douleur est aussi culturelle Après un premier don de 275 000 $ au programme de sport d’excel- lence de l’UdeM en 2011, Robert Panet-Raymond, joueur de ootball des Carabins de 1961 à 1963 et diplômé en génie civil de Polytechnique Montréal, a ait un deuxième don personnel de 475 000 $, portant ainsi sa contribution à un montant historique de 750 000 $. Cette nouvelle contribution servira à des réections majeures au stade du CEPSUM réalisées d’ici la fn de l’été 2015. Le troisième étage du bâtiment construit en 1964 sera reait à neu, incluant le vestiaire de l’équipe de ootball, qui sera d’ailleurs renommé en l’honneur du dona- teur, ainsi que les vestiaires des équipes de soccer éminin et masculin des Carabins. De plus, diérentes salles de physiothérapie et des toilettes seront rénovées, et plusieurs travaux de mise à niveau, notamment pour les systèmes électriques, la plomberie et la ventilation, eront partie des rénovations. En plus des Carabins, ces lieux sont utilisés par diverses clientèles au cours de l’année, dont des jeunes des camps de jour du CEPSUM durant la période estivale. Robert PanetRaymond ait un don aux Carabins M. Panet-Raymond s’entretient avec quelques membres de l’équipe de football des Carabins. en clips Une coccinelle esclave d’une guêpe » youtube.com/forumenclips Hocine Slimani Jacques Brodeur « La perception de la douleur diffère selon les personnes et les cultures. » – Maurice Ptito citation de la semaine P hoto : J ames h aJJar .
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